Arrivé au marché

=> Viens de L'auberge DuckLandis

Hugo suivit de ses deux nouveaux amis , se dirigeait vers le marché , peut ètre y croiserait il son ami ! Il ne pourrait pas resté trop longtemps ici , sur le continent des Ducks ... Sa mère devait l'attendre au village , elle aurait besion de lui et puis ...

"Fubar ... Mon griffon , tu me manques , mais ....non , je ne peux pas lui dire de venir ici , en pleine ville ..."

Il se retourna vers Aria en lui souriant et lui dit :

_Vous avez une bete de companie ? Moi j'ai quelque chose qui vous surprendra j'en suis sur ! Il s'appel Fubar , vous le verrez plus tard

Arrivant devant les divers étallages de pacotilles , Hugo se mit a fouiller .A la recherche d'un objet , un gadjet , quelque chose qui amuserait Fubar a son retour ...

Après quelques secondes de marche, les trois comparses, Shekil, toujours à la traine, puisqu'il regardait plus les étalages qui foisonés de merveilles à ses yeux, Hugo qui tenait la tête, marchant insouciamment , souriant toujours, et une femme, inconnu de Shekil mais pas de son petit camarade, elle aussi était "discrète" et silencieuse, tout comme Shekil. Ils ne s'étaient toujours pas parlés, Shekil n'en avait aucune envie ou presque... Ils se jetèrent tout de même quelques regards furtifs.

Shekil fut dérangé par une réplique d'Hugo, alors qu'il venait de subtiliser un couvre-chef. Posant son nouveau couvre chef sur la tête, un magnifique chapeau blanc à plume de dindon, Un magnifique couvre chef pour celui qui veut se rendre visible, il répondit :

"Hmm... bien sûr !" en regardant Hugo comme s'il venait de sortir une abération.
Faufilant son pouces et son index droit dans a bouche, il siffla fort, très fort même, ce qui eu le charme de déranger les deux ou trois personnes qui l'entouraient. Quelques secondes après ce sifflement, quelques cris se firent entendre au loin...
Des cris de marchants mécontent. Il couraient dans la direction de Shekil, a la poursuite d'un ... d'un chien. Ce chien, qui, couvert de quelques draps attrapés au passage, était celui de Shekil. Labrador et Teckel de sang, il était bâtard. Fidèle à son maître (quoique) il avait la fâcheuse tendance (comme son maître), à emporter quelques choses quand
on le sifflait.
S'arrêtant au pied de Shekil, fier comme un gardon, le chien le regarda comme pour lui prouver qu'il avait accompli sa mission.
Se jetant une main à la figure, il se lança dans une courte dépression.
*Pourquoi ce fichu chien se fait toujours attrapé ?*
Le marchand mécontent et a la fois content d'avoir trouvé un responsable, revendiqua tout de suite sa marchandise, de piètre qualitée il faut dire.
Shekil avec un sourire gêné, lui tendit le baluchon de draps. Quand son véritable propriétaire le reprit, Shekil profita de toute la zone qui était désormais non-visible de l'homme (son bassin et ses jambes) pour lui voler deux misérables écus de bronze.
Se détournant, l'homme indigné qu'il se fussent faire berner par un chien, quitta les lieu sans s'apercevoir de rien.
Shekil aussi, se détourna et regarda Hugo, pas tellement fier, et en tendant la main vers son compagnon a quattres pattes, lui dit :

"Voila la bestiole qui me sert de compagnon..."

Hugo se mit a rire lorsqu’il vit le chien de son ami Aria … Ils étaient vraiment … spéciaux tout les deux ... Et en voyant Aria et son ami fidèl , il se rappellait sa propre amitié avec fubar ... Il lui manquait énormément ...
Hugo s'accroupit a hauteur du chien et lui sourit en fermant les yeux

_Bonjours toi , moi c'est Hugo

Se présentant au chien il percuta qu'il ne s'était pas présenté a Enid , d'aileur Enid et Aria n'étaient pas trés décidé a faire connaisance entre eux non plus

"Normal , ils sont un peu pareil au fond ... "

Hugo se releva et dit en regardant Enid

_Moi c'est Hugo , désolé de me présenté seulement maintenant , et lui ( dit il en montrant de l'index Shekil )
C'est Aria . Voila les présentation sont faites

Les deux compaires allaient ils faire connaissance ? Hugo continuait de regarder les étallages tout en caressant le chien d'Aria qui voulait apparement joué avec lui .Du coin des yeux Hugo regardaient les deux amis , en croisant des doigts ...
Mais rien ne se passait , aucun des deux ne semblait osé parlé a l'autre ...

La matiné était passée , et bientot , 17 heures se fit entendre par le cloché non loin de là ..

_Un marché mangifique et vraiment long ! N'est ce pas Shekil ?

Hugo chercha du regard Enid qui avait a nouveau disparut ... Le jeune homme n'avait acheté qu'une clochette dorée qu'il offrirait a son griffon .

_Merci ....

Hugo s'approcha lentement de son nouvel ami et posa sur lui un regard doux et affectueux ...Le temps s'était presque stoppé devant cette scène

_De faire attention a moi ...

En effet , dans son village , à un certain age , chaque adolescent se doit de devenir mûr avant l'age ... Alors Que quelqu'un lui veille dessus, ce n'était pas habituel pour lui ..

_Bien ! Aria , vous venez avec moi ? Vous savez je dois retourné dans mon village et ...il fait nuit ....et pour tout vous dire , non , je ne peux pas attendre demain !

Hugo avait alors reprit otute sa fougue et sa vitalité

"Faites qu'il accepte , qu'il me suive ..."

Enid n'avait pas disparue.
Elle s'était faufilée à travers les allées de présentoirs divers, des étalages de graines et de fruits et légumes.
D'un geste vif elle déroba quelques cerises.
Elle se faufila vers un ambulant qui présentait des poignards, elle échangea une belle bourse pleine contre un des plus beaux.

D'un pas toujours aussi évasé, elle rejoint les deux compagnons de route et parla, pour l'une des premières fois en compagnie de Shekil, d'une voix lente et musicale, presque envoûtante :

Le vent se lève, l'horizon demeurt de moins en moins percevable.
Je devrais...

Ses paroles s'achevèrent par une longue plainte.
Le corps de la jeune fille fut prit de convulsions de plus en plus violentes.
Sa main se reserra laissant s'échapper les quelques cerises qu'elle serrait dans mon poing.
Enid saisit la manche de Shekil, le fixant dans le blanc des yeux.
Sa voix changea subitement, le mystère de cette jeune femme redoubla.
Ses cheveux étaient ballotés par le vent contre son visage fin et pâle.
Son regard était profond :

L'onde nocturne
Berce tes moeurs
Créature diurne,

Vois ton coeur
Ce fruit trop âmer
Se charger de cette pluie

La Calipée t'appelle
Entends-tu les plaintes ?
Les hurlements des damnées
Enid...

Prise d'une soudaine violente douleur lui paralisant le ventre, Enid plongea au sol dans un hurlement attroce.
Elle halletait et son visage était en sueurs.

Hugo venait de le demander une faveur. Et hélas, Shekil n'aurait pas la force de refuser.
Réfléchissant un tout petit, lui aussi partirai ce soir de toute façon. Kira son chien était une fois de plus parti explorer. Il devrai rester seul a vie ? Non, c'était fini, il avait un (drôle de) camarade maintenant. Un jeune homme, nommée Hugo, un peu trop plein de gentillesse, mais qu'importe, peut-être qu'avec le temps il comprendra les vraie lois qui régissent le monde, enfin d'après Shekil...

Sur le points de répondre, il fut interrompu par une parole dans son dos.
Stopé net, comme s'il on attentait à sa peau, Shekil se retourna effaré, et vit, le mystérieuse femme de toute à l'heure. L'avoir presque chassée de sa mémoire le choqua, encore une influence d'Hugo certainement.
La femme qui n'avait pas de nom, (Shekil trouva sur le coup amusant dans sa tête d'être surnomé ainsi) était non loin derrière lui, pas du tout loin. Elle déclara ces paroles :

"Le vent se lève, l'horizon demeurt de moins en moins percevable.
Je devrais..."

N'écarquillant plus les yeux tel un surpris, il sonda l'horizon, avec sa lassitude commune.

"Le vent..."

Mais fut interrompu par une série de plaintes, de gémissements. Puis par un poind ssur sa manche. Le femme qui n'avait pas de nom, était accroché à lui, tel un enfant arraché des bras de sa mer, la douleur voulait l'arracher de ce monde ?!
Et, pour la première fois de la journée, Shekil, et elle, s'étaient vus. Le vent,

*Le vent...*

Ondulés les cheveux de la jeune femme, qui malgré une douleur, parvint à déblatérer, un tissu d'incohérences pour Shekil.

L'onde nocturne
Berce tes moeurs
Créature diurne,

Vois ton coeur
Ce fruit trop âmer
Se charger de cette pluie

La Calipée t'appelle
Entends-tu les plaintes ?
Les hurlements des damnées
Enid...

A sa fin, ou plutôt a la fin que la douleur venait de crée puisque pour Shekil ce discours n'était pas fini, la femme s'effondra dans un cri bourdonnat encore quelques secondes après son apparition dans les oreilles de Shekil.
Ne laissant pas de temps de trou, son instinct prit le dessus. Fourrant une main dans sa poche arrière il cria d'un ton sevère a Hugo, spectateur de la scène précédante de mettre le femme sur le dos, et que malgré ses tortillements elle devrait restée sur le dos.
Sortant désormais un sachet d'herbes similaires à celles qu'il avait données à Hugo, il le tendit devant ses yeux avisés. Assez moulues, ses herbes pouvait faire un bien à la femme a condition qu'elles les avales sans s'étouffer. Décidant la maneovre trop dangereuse il fourra une main dans sa botte droite et en sortit deux boules de metal. Petites mais plutôt lourdes, un peu trop d'ailleurs pour qu'elles ne fut pas touchés par un coup de magie, Shekil avait recouru au service d'un magicien pour ce petit tour de passe passe. 45kg la boule, plus genant au premier abords qu'utile, Shekil ne s'en séparait jamais. Et cette fois encore il allait s'en servir.

*Le vent...*

"Vite, Hugo..." reprit Shekil, "...tiens la allongé sur le dos et fait en sorte quelle ne bouge lus... Sinon ..." baissant les bras porteur chacun d'une boule, il déclara lassivement, "le vent..."

La nuit tombait rapidement.
Enid tremblait de plus belle.
Son regard changeait, ses iris devinrent bleu clair, presque turquoise.
Sa bouche se tordait, elle halletait.
Ses plaintes découvraient ses longs crocs blancs qui poussaient à nouveau.

Elle fixait Shekil qui tentait de l'aider, au dessus d'elle.
C'était la deuxième fois qu'elle sentait qu'elle existait.
La deuxième fois qu'elle était approchée.

Sa voix redevint normale :
Partons... Vite...

Elle tenta de se relever, elle retomba.

Hugo assistait a la scène avec un recul d’étonnement . Mais , que se passait il avec cette jeune femme ? Hugo n’avait même pas eu le temps de s’agenouiller pour tenir Enid qu’elle était déjà entrain de tenté de se relever .Puis , sous la fatigue sûrement , elle se laissa tombé au sol …

" Elle est trop faible pour se relevé …Mais , que fait Aria ? …J’ignorait qu’il pratiquait ce genre de médecine … "

Oui , Car au dessus de la femme qui paraissait reprendre ses esprit , aria semblait toujours effectué quelque chose de ….magique , une lumière intense s’était mise a sortir des boules de métal que tenait Aria ,et le vent s’était levé …

_Aria , je tien sa tète , fais ce que tu as a faire , j’ai confiance ..mais …est ce de la magie ? …

Hugo , genoux a terre , tenait la tète de la souffrante , et en relevant son autre genoux pour évité qu’il ne chute en arrière , il fit accidentellement tombé la petite clochette qu’il avait acheté pour Fubar …Tout a coup , des bruits d’ailes , quelque chose de familier pour Hugo se fit entendre …

Le héros du feu tourna sa tète vers sa gauche , et distingua son ami …

_Fubar ! c’est toi ! Comment nous as tu retrouvé ?

Une envie présente de prendre son griffon dans ses bras l’envahit , mais il ne pouvait bougé pour le moment et se contenta de lui sourire ..
Puis une pensée sombre lui traversa l’esprit … le compagnon ne devait pas venir le rejoindre , pourquoi était il venu jusqu’ici ? …

_Fubar … il s’est passé quelque chose au village ? …

Le griffon semblant comprendre les parole de son ami baissa la tete en fermant les yeux ...

_Aria , fais vite ... ( dit hugo avec les larmes presque apparantes)

Hugo n'avait pas eu le temps de demandé à son ami ce qu'il s'était passé au village, car rapidement, Enid se releva, et poussa nos amis pour qu'ils partent loin de ce lieu...

_Et bien Aria , ta magie de rétablissement est incroyablement efficace ! ( dit il d'un ton ironique )

Fubar avait relevé la tête, et il s'était mit à chercher la menace, de ses yeux puissants... il semblait pourtant ne rien distingué...

_Bon, allons-y Fubar. Viens Aria , suivons la ! Je lui fais confiance.

"Devrais je lui faire confiance, contrairement a Aria, je la connais à peine ! ... Elle a l'air si effrayé..."

Tout en suivant Enid, il ajouta :

_Ecoutes, tu veux fuir loin d'ici on dirait, et moi je dois retourner à mon village...

Hugo stoppa net alors qu'ils étaient maintenant devant un grand bâtiment et commençaient à quitter la place centrale... La nuit était maintenant tombée et la pleine lune apparaissait...

_Enid et moi on peut monter sur Fubar... Aria ?

Hugo, parlé avec cet oiseau... Il l'appelait par son nom. Ce sont donc des amis ? Etrange concept mais il ne fallait pas trop s'attarder là dessus. Surtout que depuis peu, Enid, qui allait beaucoup mieux, et Hugo s'était empressés de partir en trombe. Shekil les suivant un peu a la ramasse, il comprenait néanmoins que pour Enid quelques chose n'allait pas. Ou plutôt quelques chose la traquait.
D'un coup de main sur sa hanche il vérifia que son bâton était toujours à sa place. Habitué à ce geste il ne fut pas étonné par la réponse positive qu'il obtint.
suivant toujours les deux compères, ils s'arrêta finalement avec eux devant une habitation...

"...Je trouverai un cheval et vous rejoindrez."

Un étrange cheval, blanchâtre, tacheté de noir, tel les pattes d'une araignée. Shekil s'avança vers lui, et lui tapota gentiment la croupe. Un fier destrier venait d'arriver, et Shekil suspicieux, n'hésita pas à monter une petite pièce de theatre pour n'éveiller aucun soupçon sur sa manie du vol...
"Et voila mon second compagnon !" affirma-t-il en souriant à Hugo et Enid. "Alors, dans quelle direction allons nous ?" dit-il en se servant de sa cape comme selle, histoire d'adoussir la douleur qu'il devra supporter.

Regardant attentivement le cheval, tel son propriétaire depuis des années, il espérait lui trouver un nom rapidement.

*Araignée !*

A cause de ses taches noirs, le nom Araignée lui vint a l'esprit. Il enfourcha son destrier, prêta partir pour une destination inconnue, avec dans la tête une curieuse question : d'où viens ce cheval ?

_Direction mon village !

Hugo avait comprit ... Quelque chose n'allait pas la bas ... Et Fubar semblait ètre rescapé d'une catastrophe ...

_Fubar , si tu pouvais parler ... Je sais que tu me dirais qu'il s'est passé quelque chose ...

Hugo monta sur son Griffon

_Monte Enid , nous y allons ... Aria , suis nous , nous resterons a portée de vue .



[Hrpg: Nous sommes là ]
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