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Hugo et les autres étaient désormais arrivés au village , et , voyant que celui-çi était désert , Hugo se dirigea vers sa maison . Il ouvrit la porte et ne vit personne ...

_Mais ou sont il tous passés ? ...

Tout a coup ses yeux se dirigèrent vers une lettre posée sur une table ...



Hugo les larmes aux yeux se retourna vers ses amis ...

_On fait quoi ?

Enid saisit le papier fin entre ses doigts.
Elle tremblait.
*C'est lui...*

Ses yeux parcouraient le papier qui tremblait entre ses longues et fines mains.
Elle regarda Hugo un instant, silencieuse...

Quand ses yeux reparcoururent ces longues lettres fines et élancées d'une écriture rouge foncée, l'odeur du sang s'installa dans ses narines.
Les cris, les cris retentirent de plus belle dans sa tête.
Au fil du temps, les formes hurlantes prennaient de l'assurance, devenaient plus précises.

Ses yeux quittèrent le papier et se perdirent dans l'horizon.
Elle voyait son ombre.
Elle entendait sa voix à présent...
Une voix lente et rauque, une voix pétrifiante.

Je...

Les jambes d'Enid s'agittaient sous l'angoisse que lui provoquait cette vision.
Elle porta sa main à sa tempe, laissant tomber le papier au sol.

_Enid ...Ca va ?

Hugo se contenta de reprendre le papier tombé au sol et de le plié en quatre dans sa poche ...

_Ecoutes ... si tu ne veux pas y aller , je comprendrais ...

" Si cette personne qu'elle craint et si dangereux , je suis mal barré ..."

Hugo s'était laissé tombé sur une chaisse ... complettement vidé de toute énergie ...

_Si je n'étais pas partis , j'aurais pus les protégés ...

AU fond il avait raison ... Fubar , resté a l'extérieur de la maison mais dont la tete passait par une fenètre ouverte , semblait lui aussi dépité ...

_Enid, tu connais ces personnes ? ...

Après un court voyage, heureusement, Shekil et la troupe était arrivé dans le village des Karaya, fiers indigènes membres de l'armée des 6 clans des Grasslands.
Shekil avait, plusieurs entreprit de passé par le village, mais connaissant la mauvaise réputation des Karaya pour leurs accueil peu chaleureux il s'en détourna au risque de faire un grand détour. Le prix en échange était l'assurance de garder sa tête fermement sur les épaules.
Après ce court trajet donc, Shekil et ses compagnons étaient rentrés cette fois sans problèmes dans le village, Hugo étant l'un des leurs, aucun gardes ne les empêchèrent de passer.
Devant ce qui semblait être la hutte centrale, Hugo se précipita à l'intérieur suivi de la jeune femme. Les suivants très lentement et après avoir replacer correctement sa selle et attaché son cheval à de quoi le tenir, et a l'écart du griffon, dangereux au yeux du cheval. Et aux yeux de Shekil aussi, n'aimant pas vraiment ce genre de bestioles, il n'en avait jamais vues, et ne voulait pas en voir d'avantage.
Découvrant, Hugo pleurant devant un bout de papier et la jeune femme qui n'a pas de nom allongée, dépitée. Même toutes une multitude d'adjectifs pour définir son mal en point ne serait suffisant.
Et malgré tout Shekil ne s'en souciait guère. N'étant pas du tout concernés par l'affaire il ne pouvait en éprouver de tristesse. Si on lui annonçait que sa famille était en péril, il s'en esclafferai. Ses parents étant totalement inconnues à ses yeux, il ne leurs devait qu'une chose la vie. La vie cet amas de poussière qui est si fragile, totalement fragile.
Il ne verserait pas de larmes, malgré le peu d'amitié (si encore pouvait-on appeler cela, il rendait un coup de main en accompagnant Hugo et la femme qui n'a pas de nom, c'est tout, en tout cas à ses yeux). Il devrait néanmoins supporter les larmes des autres, une chose qu'il refuserait normalement, mais là...
Bref, il était englué dans cette histoire, et d'après le papier, ils devraient toujours aller dans la même direction que Shekil. Alors, autant faire le voyage a plusieurs !
S'adossant au rebord de la pote, il avait pensé à ce qu'il attendait, lui et les autres. Et d'après la terreur qu'inspiraient les preneurs d'otages (si ils étaient plusieurs), les déboires ne feraient que commencer...
Et puis, non. Il pourrait toujours s'enfuir au dernier moment, avant, L'affrontement final !
De toutes manières, il ne s'englurai pas jusqu'au point de non retour...
La nuit était tombée depuis leur départ, et désormais sur le village des Karaya, un silence nocturne prit place...
Las comme toujours, il alluma une cigarette qu'il porta à ses lèvres.

"Il fait nuit, nous devrions resté la nuit ici..." dit-il entre deux bouffée de poison.

_Oui , tu as raison Aria , restons ici ...

Hugo se dirigea vers une porte visible du salon ou les amis étaient ...

_Enid , c'est ici , tu pourras faire te rafraichir , au bout de la pièce il y a un système de puit .Prends ton temps ...

Le porteur de la rune du feu s'approcha alors d'Aria .

_Allons nous réchauffé près du feu tu veux ? Les nuits ici sont fraiches ...

Puis il émetta un petit sifflement

_Fubar , rentre par l'arrière !

A l'arrière de la maison se trouvait une large ouverture qui semblait stoppé le vent par un rideau épais .Le griffon fit lentement le tour de la batisse et poussa lentement le tissus . Il vint alors s'allongé avec eux auprès du feu.Là , Hugo lui caressa lentement la tete . Le jeune homme avait rmarqué Qu'Aria , a chaque fois qu'il devait passé près du Griffon , se sentait ...mal ...

_Tu sais, il n'est pas dangereux , il a été receuillit lorsqu'il était bébé , je l'ais trouvé en allant a la chasse , des aventuriers l'avaient surement pris en chasse ... Et lui il devait voler auprès de sa mère car lorsque nous l'avons trouver il se cachait sous sa dépouille ...

Enid se raffraichit pendant quelques instants, elle revint enveloppée d'un long drap et elle s'assied au coin du feu.

Elle semblait avoir repris ses esprits.
Elle fixa longuement Aria, ce drôle de personnage.

Ses yeux se perdirent dans les braises du feu.
Elle sussura : Nous irons.

Mais avant celà... Il faut que je vous avertisse...

Enid saisit dans ses longues mains son pendantif rouge, qu'elle faisait glisser entre ses doigts.
D'un air perdu et d'une voix lente, elle conta :

Je ne suis pas Enid Coleslaw.
Enid Coleslaw est la première chose que je vis, sous mes yeux, lorsque je me réveillais dans cet étrange lieu...
Une sorte de cimmetière.
Je me suis donné ce nom pour me forger une identité.
Me donner une âme.

Mon âme,... ma personne, je l'ai perdu il y a si longtemps...

Et pourtant, malgré le fait que je ne me souvienne de rien,
Lorsque j'entends son nom, lorsque je ressens sa présence
Ces cris hantent mon esprit
Retentissent dans mon âme.
Je sens quelque chose m'effleurer et me poursuivre,
Cette présence lourde et terrifiante me persécute.

Quand ces cris retentissent,
Tels les plaintes éternelles des damnés,
Tout semble s'éffondrer.
Mon fluide, mes forces s'évaporent et fuient vers l'horizon
Happées, absorbées par cette présence.

Et dans ces cris, ces silhouettes,
Cette odeur âcre de sang qui flotte dans mes narines...

Ces gémissements, je les connais...
Ces prières et ces pleurs éternels...

Je ne sais qui sont ces fantômes
Ni quelle est cette étrange silhouette qui tombe sur mon être à chaque soubresaut.

Quelque chose me poursuit inlassablement...

Etudiant tout les mots de la jeune femme, observant malgré lui, tout les gestes de celle ci, il était toujours soupçonneux envers la femme. Malgré son long et beau discours Sheki ln'en savait pas plus. Ni le pourquoi ? ni le comment ? Et avancer dans le vide ne l'encourageait pas.

"Un beau discours..." il s'assit face à la jeune femme. "...Mais si vous ne saivez pas qui vous poursuit... comment allons nous l'identifier... Il se peut aussi, que ce soit moi dans ce cas qui vous poursuive..." la dévisageant il finit par "...alors pourquoi vous nous faites .. "confiance""

Avec ce discours, il espérait faire comprendre à son interlocutrice qu'il ne lui faisait aucunement confiance. Et il comprendrait que ce n'était pas réciproque. Il n'avait pas la moindre intention de risquer sa vie pour elle, et si ce n'était qu'une folle ? qui voit des visions ? Non, pas des visions, la famille d'Hugo semblait avoir était kidnappé par ces personnages...

Enid lança un regard violent à Shekil, et lui donna un revers de la main brusquement.

Je ne vous permets pas. Vraiment pas.
Folle pensez vous donc ?
Et ça,
Qu'est-ce ?

Elle montra ses énormes crocs qui poussaient dans sa bouche et lâcha le drap qui la recouvrait, laissant ainsi voir à ce jeune homme insolent deux ailes arrachées et écorchées.

Ce corps, n'est-il pas témoin d'un passé mystérieux ?
Prenez moi pour folle, s'il vous plait.

Enid posa son index froid sur le nez de Shekil et lança :
Vous ne lui arriveriez pas à la cheville.

Elle poussa Shekil qui trébucha.
Elle se reblottit dans son linge, et pris la porte en la claquant violemment.

La nuit passait , et on ne savait pas ou était partit La vampire Enid ...Hugo n'arrivait pas a trouver le sommeil , il était là , a repensé mélancoliquement a tout ces souvenirs dans cette maison ...pleine ...
Il laissa s'achappé un soupir , allongé sur son bras gauche près du feu ...

_Je suis sur qu'ils vont tous bien ...

Fubar s'approcha alors plus près de son maiter et s'allongea a ses cotés , frottant sa tete plumée sur la main pendante du porteur du feu ...

_Oui ...Heureusement que tu es là toi ...et puis ...eux aussi

Hugo se retourna pour fixé Aria , mais dans la pénombre il ne distinguait pas si celui ci avait les yeux ouverts ou fermés ... dans le doute il lui parla a voix douce ...

_Aria Pzzzzziit , Aria ? ... Tu sais ... Tu me rappel Jimba ... Calme et ... protecteur ...

Sans doute Hugo se trompait sur ses rapprochements , en effet , Jimba était un grand homme , fort et puissant ...Aria , pour le moment , ne semblait pas vraiment ètre un expert de la bataille ...

"Que feront nous une fois la haut ...Serons nous assez fort ? Je possède la True rune du feu mais ... Ils seront peut ètre nombreux ... Et si mes amis étaient touchés ... que ferais je ? ..."

*Vampire... jla sens pas du tout cette histoire...*

"Aria Pzzzzziit , Aria ? ... Tu sais ... Tu me rappel Jimba ... Calme et ... protecteur ..."

Etonné de recevoir encore quelques paroles de la part d'Hugo, a cette heure ci, le jeune homme ferma les yeux pensivement pour répondre.


"Tu te trompes... je ne connais pas de Jimba mais..."

Soudain interrompu par un coup de vent. On venait d'ouvrir la faible prote de la demeure, et ce n'était pas forcément cette Enid...
Quand il entendit des paroles, il se releva, toujours au sol, mais cette fois assis il dévisagea Hugo.

"C'est pour toi..."

*Mettre à l'épreuve c'est quoi ces conneries ? Qu'est-ce que je fous là ?*

Enid était adossée au pan de mur derrière la maisonnée.
Elle soupirait, regardant les étoiles au loin.

Ne pas dormir, surtout ne pas dormir... Il saurait venir la prendre en traitre dans son sommeil et absorber sa positivité.

Elle repensait au comportement audacieux de Shekil, elle tourna alors la tête vers la fenêtre, pour scruter l'intérieur de la maison.

Soudain elle sentit le vent monter...

Qu'est-... Qu'est-ce que... ?

Les cîmes des arbres ondulaient, comme une danse magique et envoûtante avec ce vent, tout semblait pourtant si calme...

Puis, d'un pas certain, elle rentra sur la pointe des pieds...

Hugo surprit par l'attaque vit avancer devant lui une sorte de lame formée d'énergie s’avançaient vers lui à grande vitesse . Il n'avait plus le temps d'esquivé ... Il fit alors appel a sa rune en formant une prison de feu dans laquelle il s’enferma rapidement .

_Ouf , il fait chaud la dedans !

Il cessa alors sa défence et sortit dehors, en roula a l'aide des saut , par la fenètre .

_Si tu veux vraiment me tester , alors il faudra que le combat se passe a l'extérieur de ma maison ... Ici , c'est le fruit de tout mes souvenirs ... Tu ne détruiras rien !

Hugo restait tout de meme soulagé a l'idée qu'elle n'était pas cette personne qu'Enid craignait tant ... Elle était ...

_...La gardienne des Runes ... Je n'en ais jamais entendu parlé ! Prouve le moi !

Hugo fit alors un geste acrobatique pour se mettre a distance , et après avoir vérifié que rien ne gênerait la technique , il commença a tendre sa main droite devant lui et a fermé les yeux . Alors des paroles étranges commencèrent a raisonner dans les airs et tout a coup Hugo ouvra a nouveau les yeux .


_Fais face a ca !


L'artisan du feu ,venait de modelé , une sorte de dragon énorme qui se dirigeait ,tel un aigle sur sa proie , sur la Gardienne des Runes.
Dans ce bruit horrible , des flammes crépitantes dans l'air , la chaleur était devenue insoutenable , et Hugo commençait déjà a faiblir ...


"Espérons juste que cette attaque ne la touchera pas ... et qu'elle sera impressionnée puis me laissera tranquille ... je n'étais déjas pas dans mon assiette , ce n'est pas pour combattre maintenant ..."

Enid entrant, fut stupéfaite par tant d'agitations.
Elle recula, et se faufila dans l'ombre vers Shekil, loin de l'action.

D'un ton mélancolique, elle dit :
Décidément, je ne sais ce que je fais ici...
Ni quel rôle je dois jouer...

Au loin, elle fixait les deux personnages... Celà faisait déjà longtemps qu'Il hantait ses pensées.
"Longtemps" raisonna dans sa tête...
Elle fixa au loin l'horizon, par la fenêtre...
Le soleil se pointait déjà, qu'un long frémissement l'envahit.

Elle voyait toujours les personnages s'agiter entre eux tandis que le soleil pointait plus précisément son nez aux fenêtres de l'habitacle.

C'est... C'est arrivé...
Le moment de grâce...

Enid sortit de sa botte une petite gourdasse, fit sauter le bouchon de son ongle et but une longue traine.
Elle grimaça.
Elle saisit de sa longue main un poignard fin, sur lequel deux serpents enlaçaient un coeur de pierre rouge, la lame était grâvée de vers latins.

Elle ôta le drap dans lequel elle était blotie et enfila son haut de dentelles rafinées.
D'un geste vif elle ouvrit la fenêtre, leva sa manche et tendit son poignard dans le prolongement ses veines et dit, en se provoquant une saignée :

Que le vent porte l'odeur de mon sang,
Que mon nom s'élève jusqu'aux horizons les plus lointains.

Mon sang t'appâtera tel cet infâme moustique qui rôde autour de mes veines,
Te débusquera tel le loup qui se terre pour mieux débusquer sa proie.

L'odeur flottera dans tes narines,
Parfum enivrant,
Parfum de tes désirs...

Ô ! Créatures de la nuit,
Monstres et chimères !
J'appelle aujourd'hui mon maître,
Moi, ta créature,
Je te conjures de répondre à cet appel
Pour assouvir à ta requête.

A ces mots qui semblaient encore raisonner dans la pièce, le vent s'engouffra violemment dans la maisonnée et ouvra toutes les fenêtres.
Enid lâcha son poignard au sol et fit couler quelques goutes de son sang sur la pierre rouge qui se mit à luire au contact de ce fluide.

Le sol se mit à trembler... des ronces se mirent à encercler le poignard d'Enid.
Le ciel devint sombre comme les ténèbres, et une voix grâve et rauque s'éleva :

Je reconnais cet appel, cette voix... musicale... ne peut être que celle d'Enid...

Le ciel se déchaîne, devient rouge au parfum de ton sang.
Il s'écoule comme la haine...
Vois cette mer de souffrances...
Rappelles toi,
Cette nuit.

Enid,

"Suis la Calipée,
Ou la Calipée viendra à toi..."

Sous ces mots, les genous d'Enid plièrent.
Elle s'éffondra.
La voix s'estompa, faisant gronder les murs de la pièce.
Le soleil revînt.

Enid se retourna sur le dos lentement.

La Calipée...

Enid se leva lentement, parcoura la salle d'un pas ralenti, vers la porte.
Elle murmurait ces mots

Terre...
Sang...
Les astres... alignés...

Elle était réélement la gardienne des runes ...

"Comment ..a t elle put stoppé si facilement cette attaque? ... C'est donc vrai ..."

Hugo ne voulant pas montrer sa fatigue , restait droit comme un baton .

_Je souhaite garder cette true rune parceque ... je dois protégé tout le monde ... et c'est mon devoir ... tel est mon destin ...

Tout a coup malgrès ses efforts pour ne pas fléchir sous son propre poids , quelque chose le fit se courbé ...

_Une secousse ?!

Ca venait de la maison ... Le ciel était nuageux ... Ca sentait la magie a plein nez ...

_Aria , tout va bien pour toi ? ; ajouta hugo qui avait reprit sa position de défence

"Mais c'est quoi ce merdier ?" pouffa Shekil, quand se retournant, il vit Enid, poignet ensanglanté, attablée au sol. Et pour assaisonner le tout, la poignard qui lui avait permis cet exploit, se trouvé figé encerclé de ronces, non présente avant si les souvenirs de Shekil étaient bons. De plus, une voix, plutôt glauque, sortit du néant vint s'adresser à Enid, toujours avec des phrases "à la Enid" comme les avait surnommées Shekil. En effet, à sa connaissance, aucune autre personne pouvait déblatérai de tels absurditées, sans aucune cohérences e garder tout son sérieux. Pour couronner la scè-ne désormais seule vision de Shekil, une secousse, peut attrayante vint pointé le bout de son nez. Le combat n'avait plus rien d'intéressant.

D'après les paroles, peu cohérentes d'Enid et de la voix, Shekil en déduisit qu'elle venait de perdre fonction de ses mouvements, ou en tout cas, il l'espérait car elle se retrouverai beaucoup plus dangereuse dans le cas contraire.

S'interposant désormais entre Enid et la porte, il cria a l'intention d'Enid et d'Hguo :

"Aucun problème Hugo, aucun... Enid et moi faisons juste connaissance..." et souriant a Enid, et beaucoup plus silencieusement que son discours précédant il lui déclara :
"Et qui est-tu là ?"

Ne heurtes pas mon chemin.
Suis la fille.

Enid passa son chemin et continua son périple, commença à avancer sur le pas de la porte.
Elle leva le bras et claqua ses longues phalenges.
Un cheval noir arriva au galop.
Une voix fébrile et légère s'élança des lèvres d'Enid :

La Calipée... La Calipée... Je viens à Toi...

Le cheval d'Enid commençait l'ascension de la colline en face d'eux, se dirigeant étrangement vers une énorme forêt, très épaisse et très brumeuse...